Portes closes pour le trafic de pièces de rechange
Après les véhicules de moins de trois ans, le gouvernement algérien va interdire, formellement, l'importation de toute pièce de rechange déjà utilisée et autres parties et accessoires de véhicules et d'engins. C'est en tout cas ce que prévoit le projet de loi de finances 2007 interdit formellement l'importation à l'état usagé de pièces détachées, parties et accessoires de véhicules et d'engins. Pour éviter tout détournement, le projet de loi envisage de détruire, par les services des douanes, les pièces détachées confisquées, tandis que les véhicules visés par cette loi seront automatiquement confisqués au profit de l'Etat et des collectivités locales. Ce qui signifie que toutes les portes seront fermées contre toute tentative de trafic de pièces de rechange. Au grand bonheur des concessionnaires installés en Algérie qui, depuis quelque temps, dénoncent ce fait qui a tendance à prendre de l'ampleur par manque de vigilance des services de douanes notamment en ce qui concerne la déclaration de l'origine et du fabricant de la matière. T.B.