Confrontée à la fermeture de son usine d'Ennadhour pour cause d'incendie, Autoliv a voulu transférer une trentaine d'ouvriers tunisiens en France pour les faire travailler en France. Le groupe suédois a dû finalement y renoncer et recruter des intérimaires sur place après que l'ambassade de France ait refusé, à la demande du Préfet de La Vienne lui demandant de ne pas délivrer de visas aux employés tunisiens du fabricant de volants pour voitures.