Près de mille morts jusqu'au 25 octobre 50 morts du 3 mars jusqu'au 16 juin avant l'ouverture des frontières, avant la suppression des tests PCR, avant la suppression de la quatorzaine et avant le changement odieux des couleurs des pays endémiques en non endémiques dans la même journée.
Une trêve fructueuse du confinement judicieux de mars avec Zéro décès jusqu'au 30 juillet. 30 décès du 31 juillet au 31 août à cause des décisions politiques sadiques approuvées par un conseil scientifique misérabiliste et chevillé à la cour du chef du gouvernement. 191 décès du 1 au 30 septembre. 712 décès du premier octobre au 25 octobre.
Il ne faut pas être un génie pour ne pas croire que les alertes du jeune médecin Zakaria Bouguira s'avèrent de plus en plus justifiées et justes. Chercher l'erreur parmi nos morts reste une terrible injustice. La justice commence par là où on empêche le carnage de milliers d'autres Tunisiens . Plus personne ne pourra sauver ce peuple sauf le président de la République qui est le commandant suprême des forces armées et de ses amendements. Lui seul, homme de justice est apte à faire justice et stopper le carnage parmi son peuple. 3 millions de Tunisiens l'ont fait élire. Ne pas tenter de les sauver serait un acte délibéré de lâcheté à ses électeurs. Sa conscience sera-t-elle prête à porter toutes ces morts jusqu'au restant de sa vie voire dans l'au-delà ?