Encore une fois le Parlement est le théâtre de violences. La présidente du Parti destourien libre (PDL) assure dans un live Facebook qu'elle a été agressée et qu'on a tenté de l'empêcher et les élus du parti à accéder à la salle de plénière. « J'ai laissé mon téléphone dans la salle et à mon retour j'ai été attaquée et agressée physiquement. Ils savaient que je ne pouvais pas faire de live, alors ils en ont profité pour m'agresser et m'empêcher d'accéder à la salle de plénière ! ». Abir Moussi et les députés du bloc parlementaire du PDL ont crié au scandale et affirment qu'ils sont visés et qu'un plan a été mis en place pour leur interdire de participer à la plénière. « C'est pour cette raison qu'ils veulent nous empêcher de faire des live afin que leurs méfaits ne soient pas filmés ! ».