Le secrétaire général adjoint de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a précisé, dans un post publié ce vendredi 17 septembre 2021, sur les réseaux sociaux, que les dirigeants de l'union ne rencontrent « secrètement » aucune partie et que « s'il existe un service de renseignement qui présente de faux rapports, ses motivations doivent faire l'objet d'une enquête ». Sami Tahri a ensuite souligné que la constitution actuelle est toujours en vigueur et que si « ce n'est pas du Coran, son amendement ne peut pas avoir lieu par la force et dans une situation exceptionnelle ».
« Le Parlement est terminé et une décision politique ou technique doit être prise pour mettre fin à ses fonctions sans recourir à la loi dite des pouvoirs temporaires, qui ne fera que légitimer la violation de la démocratie » a-t-il ajouté.
Sami Tahri a enfin écrit : « A ceux qui veulent contourner les structures professionnelles et syndicales dans tous les secteurs, ceux qui vous ont précédé ont essayé et n'ont pas réussi ».