Le Parti destourien libre (PDL) a annoncé, mercredi 18 mai 2022, avoir envoyé une correspondance à la Commission de Venise dans laquelle il a exposé les « infractions » commises par le pouvoir en place en prévision du référendum et des élections législatives anticipées prévues en décembre 2022.
Selon le PDL, la démarche du chef de l'Etat vise à abolir la notion de citoyenneté et à transformer le processus électoral en un simple « serment d'allégeance » envers la personne du président de la République, Kaïs Saïed.
Le parti de Abir Moussi a, dans ce sens, réitéré son rejet des violations des droits fondamentaux du peuple tunisien et le mépris manifeste du président de la République envers la femme tunisienne notant qu'il continuerait son combat contre le système de destruction mis en œuvre par Kaïs Saïed.