La mort d'un jeune âgé de 23 ans au centre-ville de Tunis par balle à la date du 7 septembre 2022 a relancé le débat sur les décès liés à des agents de police et aux forces sécuritaires. L'avocat et vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l'Homme (LTDH), Bassem Trifi a publié une liste de noms affirmant qu'ils avaient été tués par des policiers. « Une des causes fréquentes de décès dans mon pays la Tunisie est la mort par la police », a-t-il annoté.
Il s'agit de : - Walid Denguize - Ayoub Ben Fradj - Anas Dalhoumi - Ahlem Dalhoumi - Khamis Yeferni - Abdelrazzak Khachnaoui - Anouer Sakrafi - Aymen Othmani - Ahmed Ben Amara, - Haykel Rachdi - Abdessalem Zayen - Omar Laabidi - Karim Sayari - Mohsen Zayeni Bassem Trifi a affirmé que dans l'ensemble de ces affaires les auteurs du crime n'avaient pas été sanctionnés malgré le dépôt de dossier auprès des tribunaux tunisiens.