L'ancienne membre de l'Union patriotique libre (UPL) et soutien au processus du 25-Juillet, Ahlem Kamerji a indiqué, jeudi 23 mai 2024, lors de l'émission « Politika » de Zouhaier El Jiss sur Jawhara Fm, que la liberté d'expression était menacée alors qu'elle était garantie durant la période de gouvernance de la Troïka. « Tout le monde est en prison… Tous ceux qui parlent se trouvent incarcérés. Il y a toute une campagne orchestrée, et c'est voulu », assure Ahlem Kamerji. Elle a ajouté que le président de la République est le premier à être lésé par ce qui se passe. « La répression, le décret… tout cela ne plait à personne. Nous sommes pour la reddition des comptes, mais dans le cadre de la loi, de l'Etat des droits et des institutions », note-t-elle.