Plusieurs militants tunisiens se sont déplacés vendredi 4 mai 2012, au cimetière du Jellaz, pour réparer le préjudice commis contre la tombe de Tahar Haddad. La tombe de l'écrivain et syndicaliste a été profanée il y a quelques jours par des inconnus. L'épitaphe en sa mémoire, rédigée par feu le grand journaliste Hédi Lâabidi, a été peinte en noir, ainsi que ses dates de naissance et de décès. La tombe a été bien récurée et nettoyée grâce aux militants volontaires qui ont tenu à rendre un hommage fort bien mérité au défunt… R.B.H.