Dans une correspondance émanant du service de communication de l'ambassade américaine en Tunisie, les autorités américaines ont démenti l'information sur une éventuelle liste des salafistes à arrêter fournie par les autorités américaines. Ladite information, rapportée par certains médias stipule que la secrétaire d'Etat Beth Jones lors de sa récente visite ainsi que l'ambassadeur des Etats-Unis en Tunisie, Jacob Walles, auraient fourni au gouvernement tunisien une liste des personnes suspectées d'avoir perpétré l'attaque du 14 septembre contre l'ambassade US. Il s'agit, donc selon Washington, d'une pure intox.