Les 14 agents de sûreté accusés d'avoir crié "dégage" à Moncef Marzouki à la caserne de l'Aouina ont comparu aujourd'hui, 24 juillet 2014, devant la chambre criminelle du tribunal militaire de Tunis. Les accusés ont formellement nié les accusation portées à leur encontre et leurs avocats ont demandé le report de l'affaire. La chambre a donc décidé de reporter l'affaire au 27 octobre 2014. Les accusés ont été laissés en état de liberté.