Le directeur du cabinet du président de la République, Slim Azzabi, a indiqué, ce vendredi 15 juillet 2016, que la présidence de la République comprend les opposants à l'initiative de la réconciliation économique et financière et trouve légitime de manifester contre la corruption. Il a affirmé que ce projet de loi est ouvert à des modifications et que les dossiers concernés par la réconciliation ne peuvent être annoncés dans l'immédiat car les données peuvent changer.
Slim Azzabi a ajouté que les données chiffrées sont un sujet délicat qui doit être scientifiquement étudié au sein des structures de l'ARP, dans la mesure où certains responsables sont actuellement poursuivis en justice que d'autres sont en prison et que certains peuvent aussi bénéficier plus tard de cette loi.