INFOTUNISIE – Alors que La Tunisie connaît actuellement un engouement particulier pour tout ce qui est bancaire vu l'organisation du 3ème Salon des services bancaires et de la Monétique, qui déballe une grande palette d'offres et de nouveautés en la matière, voilà qu'une bonne nouvelle vient reconnaitre la résistance du secteur en Tunisie. Il s'agit du Prix remporté par la Banque de Tunisie (BT), comme meilleure banque dans le pays, octroyé par «The Banker Magazine» du Groupe «Financial Times» au titre de l'année 2009. Cette nouvelle distinction à la Banque de Tunisie est accordée par des experts internationaux de la Finance, de la fameuse City de Londres «en récompense à la BT pour sa solidité financière, ses performances et la pertinence de sa stratégie de développement». La BT a en effet réussi malgré la conjoncture bancaire difficile en continuant à progresser, voire même à élargir son réseau d'agences et à introduire de nouveaux produits d'épargne, d'assurance et de paiement par carte… Les médias spécialisés de la place londonienne dont notamment le site «Global Arab Net Work» ont commenté ce prestigieux Prix comme étant foncièrement mérité par la BT pour «sa forte gestion et son approche soucieuse du risque», le même site rajoute que «la Tunisie a obtenu des notations favorables de la part des agences les plus connues dans le monde». C'est le directeur financier de la BT, qui a représenté sa banque à la remise des trophées le 3 décembre courant, assurée par les représentants du «The Baker Magazine» et du « Financial Times» dans une cérémonie où ont pris part des représentants de banques et d'institutions financières «élites» dans le monde. Ce n'est pas la première que la BT reçoit de grands prix, le Prix du Magazine américain «Global Venus» l'avait déjà classé parmi les meilleures banques à l'échelle internationale dans le secteur des services bancaires… Ces distinctions viennent reconnaitre la solidité bancaire et financière de la Tunisie et confirmer la justesse de ses choix de développement qui envisagent de maintenir un taux de croissance entre 5,5 et 6,5% en se concentrant entre autres, sur les secteurs à forte valeur ajoutée.