INFOTUNISIE – Que représentent «la jeunesse positive» et l'année internationale de la jeunesse ? Et, quelles sont les acquis et les réalisations en faveur de la jeunesse depuis le changement du 7 Novembre 1987 ? Telles sont deux parmi les douze interrogations qui meubleront, à partir d'aujourd'hui 6 (19h) jusqu'à demain 7 novembre 2010 (19h), l'indicateur d'une émission radiophonique de 24 heures sans interruption, «24 Heures Jeunesse», sur les ondes de la Radio «TounesBledi», qui se veut la première à émettre sur la Toile depuis le 21 Mars 2005. En effet, «TounesBledi» fait savoir sur son site officiel que cet événement vient à point nommé célébrer le 23e anniversaire du Changement du 7 Novembre 2010, d'autant plus qu'il vient marquer les festivités marquant la célébration de l'année internationale de la jeunesse. Oscillant autour d'un thème majeur à savoir «L'énergie positive des jeunes au service du développement, du progrès social et de l'innovation technologique», l'espace radiophonique «24 heures jeunesse» permettra à des jeunes animateurs et une pléiade d'invités de débattre notamment du «rôle peuvent jouer les jeunes tunisiens en vue de promouvoir le rayonnement de la Tunisie au niveau mondial», celui de la «la société civile dans l'encadrement et l'accompagnement des jeunes tunisiens», «la jeunesse positive » et sa contribution au développement socio-économique. L'émission « 24 heures jeunesse » tentera, par la même, d'éclairer sur «la contribution de la jeunesse dans la lutte contre les influences négatives», «les programmes des Nations Unies relatifs à la jeunesse, existants en Tunisie». De part «la jeunesse féminine » et son «rôle au niveau du développement», ce rendez-vous radiophonique mettra, également, sous la loupe le concept «jeunesse numérique » et tentera d'identifier «les perspectives du transfert technologique dans les pays émergents (exemple de la Tunisie) », avant de focaliser vers la fin sur «la valeur ajoutée de cette programmation « Spéciale Changement et année internationale de la jeunesse», toujours selon la même source.