Kamel Amara, membre du mouvement Ennahdha et député à l'Assemblée nationale constituante, a assuré que les élus ne quitteront, définitivement, l'ANC que morts ! Au cours de la séance plénière consacrée, vendredi 15 février, au débat sur la situation générale du pays, le député a défendu la légitimité de l'ANC : « Le jeudi 7 février était un jour de coup d'Etat. La veille, Chokri Belaïd, secrétaire général du Parti des patriotes démocrates unifié, a été assassiné alors qu'il venait de quitter son domicile ».