Les représentants du mouvement Ennahdha et six autres partis politiques se sont retirés, mardi 18 juin 2013, des activités du Congrès national contre la violence et le terrorisme, en signe de protestation contre les slogans scandés par des participants. Dans une déclaration accordée à Mosaïque FM, Noureddine Arbaoui, représentant d'Ennahdha au Congrès, a précisé que les sept partis se sont retirés à cause des réactions hostiles à la présence du président de l'Association centriste pour sensibilisation et réforme, Adel Almi, ainsi que les slogans accusant le leader d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, d'avoir tué Chokri Belaïd.