Suite aux réactions hostiles à la présence du cheikh Adel Almi, président de l'Association centriste pour la sensibilisation et la réforme, et les slogans scandés par certains des participants au congrès visant Rached Ghannouchi, leader d'Ennahdha et l'accusant d'avoir tué Chokri Belaïd, les représentants du mouvement Ennahdha et six autres partis politiques se sont retirés des travaux du Congrès National contre la Violence et le terrorisme. Les partis qui se sont retirés en signe de protestation, sont : Ennahdha, CPR, Parti de la réforme et du développement, Parti républicain maghrébin, Parti de la culture et du travail, El Amen et le mouvement national de la justice et du développement.