L'organisation Human Rights Watch, appelle, dans un communiqué rendu public lundi 21 octobre 2013, les législateurs tunisiens à annuler les lois qui pénalisent la diffamation et l'offense des responsables de l'Etat et des établissements. Human Rights Watch considère l'incarcération pour critique pacifique ou humiliation aux responsables de l'Etat comme atteinte aux normes internationales de la liberté d'expression.