La Chambre de Commerce Tuniso-Américaine (TACC) vient d'organiser une conférence de presse sur les prix « TACC AWARDS » qu'elle compte accorder aux entreprises tunisiennes les plus performantes de l'année. La conférence n'était pas fidèle à son thème puisque les journalistes ont évoqué avec Mr Nazeh Ben Ammar (président de la TACC) et Mme Rym Bedoui Ayari (Secrétaire Général) l'avancement des programmes de la TACC ainsi que les champs d'intervention de la chambre. Les responsables de la TACC ont insisté sur l'importance des « sucess story » tunisiens aux Etats Unis. Ces témoignages peuvent améliorer l'image de marque de la place Tunisie chez les investisseurs américains à travers des cas pratiques de tunisiens ayant la réussite d'attaquer le marché le plus féroce au monde. Une mission tunisienne aux USA La mission, que Mr Ben Ammar compte présider, est programmée durant décembre 2009. C'est une coutume organisée par la TACC en présence des représentants de multiples intervenants économiques et relationnels tunisiens. L'objectif de la visite est de faire connaître la Tunisie auprès des décideurs, associations, universités et les composants influents la décision américaine. Un travail dur et nécessite un souffle de la part des organisateurs et participants pour fidéliser les décideurs américains. La mission marque la présence de l'ATCE, FIPA, CEPEX, UTICA et naturellement la TACC. Salon de la franchise : porte ouverte pour les américains La TACC a préparé un programme riche en contacts à l'occasion du premier salon de la franchise en Tunisie « Tunis-Medfranchise », qui se tiendra au siège de l'UTICA de 10 à 12 décembre 2009. La TACC va accompagner les américains intéressés par la franchise en Tunisie pour trouver de bonnes affaires. Mr Nazeh Ben Ammar (président de la TACC) a insisté sur le fait que les sociétés américaines en cours d'installation dépassent McDonald's et les services vers des unités importantes sur le plan économique et financier. Le salon présente une concrétisation d'une loi récente en Tunisie qui règlemente cette technique commercial très connue aux Etats Unis d'où le fondement de ces contacts Tuniso-américains.