On ne peut pas tout demander à la municipalité, mais dans ce cas particulier, aucune autre institution ne peut le faire. Je veux attirer l'attention des responsables municipaux sur l'état délabré des balcons du 2e étage de l'immeuble situé à l'angle de la rue Nahas-Bacha et de la du rue Caire, d'ailleurs d'autres balcons de la ville ne sont pas dans un meilleur état. Ces balcons continuent à être normalement utilisés par les habitants, alors qu'il suffit d'un bon coup du vent ou d'une pluie pour les voir dégringoler. Il est facile d'imaginer le nombre de victimes qui en résulterait. Je pourrais encore parler des persiennes en mauvais état, de l'enduit endommagé des immeubles, des boulons restés dans le sol après l'arrachement de certains poteaux, des regards surlevés par rapport au niveau du trottoir, «des marches» en plein trottoir, conséquence de l'aménagement fait par des commerçants devant leur boutique et qui provoquent parfois la chute des passants. Ne peut-on pas charger «un piéton municipal» qui circulerait pour recenser les travaux urgents à effectuer avant la survenue de catastrophes. A méditer. Bravo tout de même à la récupération des arcades de l'avenue de France spoliées depuis des décennies.