Tunisie-Belgique (2-5). Stade du Spartak Moscou. Arbitrage approximatif de Jaik Marrufo (USA). Buts d'Eden Hazard (6' et 51'), Lukaku (16' et 47'), Batshuayi (90') pour la Belgique, Bronn (17') et Khazri (93') pour la Tunisie. Tunisie : Farouk Ben Mustapha, Dylan Bronn (H. Naguez), Yassine Meriah, Syam Ben Youssef, Ali Maaloul, Elyes Skhiri, Seifeddine Khaoui, Ferjani Sassi (Selliti), Anis Badri, Wahbi Khazri, Fakhreddine Ben Youssef. Belgique : Thibaut Courtois, Alderweild, Boyata, Verthogen, Meunier, Kevin Debryne, Witsel, Carasco, Mertens, Eden Hazard, Lukaku En dépit de la défaite, la Tunisie a osé et cela est à saluer, quoique... Les Aigles de Carthage ont peut-être raté le coche face à l'Angleterre, là où il fallait s'armer de détermination et d'implication surtout. Sauf que le rideau n'était pas encore tombé et la Tunisie avait encore une belle carte à jouer. Dos au mur cette fois-ci, il fallait attaquer sans se perdre en conjectures et en futilités. Au final, la Tunisie a sombré face à des Diables rouges qui portent bien leur nom ! Ce faisant, Nabil Mâaloul a été fidèle à son plan de jeu de fortune. Un 4-3-3 classique avec toutefois une orientation portée vers l'offensive. La quadrature du cercle Sur ce, seule nuance sur le jeu tunisien, Ben Alouane était titulaire dans le plan tactique de Maâloul, jusqu'à la séance d'entraînement d'avant-match. Il a par la suite décidé de garder Syam Ben Youssef en tant que défenseur central. La Belgique de Roberto Martinez, privée d'un certain Radja Naigolgann (choix technique du coach), à son tour, a évolué en 3-4-2-1 avec Alderweild et Vertoghen sur les flancs, Boyata en sentinelle axial, Meunier et Carrasco sur les couloirs défensifs, Debryne et Witsel en paire axiale avancée, juste derrière Mertens et Hazard au service de la pointe Lukaku. Indépendamment de la défaite, la Tunisie, et principalement le coach Mâaloul, aurait dû mieux étudier le jeu de l'adversaire : Un adversaire qui évolue une classe au-dessus avec son losange axial taillé pour la Coupe du monde !!