Outre son vibrant archet, Yasmine Azaïez possède une énergie, un vouloir-vivre en musique et une persévérance qui lui ont ouvert toutes les portes, y compris celle qui mène à la scène du prestigieux Festival de Carthage, le rêve de tout artiste tunisien. Après une belle performance l'été dernier, lors de la 53e édition du prestigieux Festival international de Carthage, ainsi que du concert joué pour les Nations unies à Genève et ceux en faveur de l'Association arabo-koréenne à Séoul et à Guanzo, Yasmine revient avec un nouveau concept musical inédit «African Jasmin» ou «Jasmin de l'Afrique». Pour ceux qui ne la connaissent pas, Yasmine Azaïez est une virtuose du violon. Elle a commencé à jouer à Londres dès l'âge de 4 ans, puis elle a intégré la prestigieuse école Yehudi Menuhin alors qu'elle n'avait que 8 ans. Dix ans après, elle est admise au New England Conservatory à Boston, aux USA, où elle a reçu le prix d'excellence de Honor Student. En 2010, elle a été sélectionnée parmi les 9 finalistes mondiaux au concours des Jeunes violonistes du monde à Sydney, en Australie. En 2011, elle fait partie du groupe du guitariste Joe Morris. C'était le point de départ d'une carrière internationale et exemplaire. Avec son joli timbre pop et sa grande maîtrise instrumentale, au violon comme au chant, Yasmine Azaïez captive toujours l'assistance, dans un style bien à elle. Le but de son projet «Aricain Jasmin» (Jasmin africain) ou Yasmine d'Afrique est d'unir le continent africain à travers la musique, et ce, en réunissant des artistes tunisiens et autres venant de tous les coins de l'Afrique, quelles que soient leurs couleurs, croyances et cultures. Le projet consiste à faire une fusion entre des instruments africains, tels que le jembe et la kora, avec des instruments typiquements tunisiens, comme la darbouka, etc. Un spectacle qui s'annonce original et haut en couleur à ne pas manquer !