« Il est très difficile d'évaluer le rendement de l'équipe nationale sous la houlette du nouvel entraîneur Alain Giresse, surtout que le premier match a opposé notre onze national à une équipe déjà éliminée, à savoir l'eSwatini, et ce, outre les conditions climatiques qui ont influé beaucoup sur le rendement des joueurs. Par contre, le match amical contre l'Algérie m'a paru riche en enseignements. Néanmoins, l'équipe a besoin de quelques retouches afin que les joueurs retrouvent leurs repères. La CAN 2019 est pour demain. Ainsi, il n'y a pas de temps à perdre. A mon sens, quelques joueurs convoqués pour les derniers matches n'ont pas mérité leur place en équipe nationale. Il faut se limiter à un effectif se composant de 17 à 18 joueurs, qui sont titulaires dans leurs clubs. L'appartenance à l'équipe nationale demeure toujours tributaire de la forme du moment du joueur et son temps du jeu avec son équipe. Le temps ne permet pas de tester quelques joueurs convoqués dernièrement, tels que Srarfi et autres. Ils n'ont rien à ajouter». « Objectif, le carré d'as » «Avec le retour de Khazri, Badri , Ben Amor et le retour en forme de Youssef Msakni , notre équipe nationale retrouvera son équilibre , ses automatismes et son efficacité au niveau de l'attaque et de la défense . Elle sera un adversaire redoutable lors de la CAN 2019. Elle atteindra le carré d'as».
