Paradoxalement, les jeunes ont investi, le 23 novembre 2014, les bureaux de vote, non pas pour voter, mais pour observer le déroulement du scrutin. Achref Aouadi, observateur et président de l'organisation I Watch assure que les jeunes ne se désintéressent pas de la vie politique, mais ils ne croient pas aux programmes électoraux des candidats à la présidentielle.