Variations sur une profonde réflexion philosophique partagée. S'il ne faut rien espérer de la vie, il faudrait toujours essayer de l'améliorer. Le professeur Yadh Ben Achour, qui a pris goût à la poésie depuis sa prime jeunesse, revient avec un nouveau recueil de poèmes. Après « Poèmes sur la liberté », paru en 2024, il publie « Songe et éveil » (AC Editions) : 17 poèmes écrits en arabe et en français. Du « trou dans la serrure » à « l'absence », de « la mort de l'enfant » au « perroquet de Milan », chaque poème exprime un ressenti personnel profond, sans être soumis à une traduction littérale, à ne plus distinguer la langue initiale de son écriture, dans ce double registre linguistique. Yadh Ben Achour partage «une traversée des grandes interrogations humaines : la vie, la mort, le destin, le mystère de l'interprétation, mais aussi l'écho de notre histoire récente et la mémoire des mythes. Il convoque de grands poètes arabes et chante la liberté, qu'il ne cesse de déclamer.