L'enseignement privé « Le défi du savoir ou savoir défier » A l'instar de ce qui se passe ailleurs, nombreux sont les pays qui ont réagi à la crise de l'enseignement supérieur public en mettant en place des politiques novatrices notamment en stimulant le financement privé, tenant compte du fait que l'enseignement supérieur public ne devrait pas prétendre à disposer davantage de fonds. Un examen de l'expérience des pays fait apparaître entre réformes, un développement d'établissements universitaires privés, on pense que l'émergence de ces investissements peut constituer un moyen de participation efficace du secteur privé au financement du coût de la formation. On peut donc ainsi desserrer la contrainte financière et améliorer la qualité de l'enseignement supérieur, en mobilisant une fraction plus importante des fonds auprès des étudiants eux-mêmes, lesquels peuvent escompter des revenus notamment plus élevés, leur vie durant, grâce aux études supérieures, qu'ils auront faites, et dont les familles ont souvent largement les moyens de contribuer au coût de leur éducation. Une aubaine, alors, pour ceux qui prônent la qualité de l'enseignement à l'instar du groupe IMSET-Université Centrale. Académie d'art de Carthage et bientôt de l'institut de tourisme et d'hôtellerie, un groupe dont la réputation ne cesse de se confirmer aux fils des années. « C'est un défi à prendre au sérieux » nous dit-on du côté de l'académie d'art de Carthage qui vient d'ouvrir ses portes depuis un mois au grand dam des étudiants amateurs d'art. Ridha Jelalia Directeur de Département chargé de la communication (Médias) au sein du groupe (IMSET-Université Centrale, Académie d'art de Carthage et I.Tourisme Hôtellerie et Loisirs)