La victime en accompagnant son fiancé dans une promenade, était à mille lieues d'imaginer qu'elle allait être agressée par deux énergumènes. Une fois n'est pas coutume, ces deux fiancés avaient décidé d'aller prendre l'air à la montagne. Il faisait, beau ce jour là, et les deux compagnons ont prévu de passer une belle escapade à deux. Finalement, le fiancé décida de garer la voiture au beau milieu des arbres invitant sa dulcinée à venir contempler le beau site où ils se trouvaient. Le couple, en effet, s'apprêtait à convoler en justes noces, dans quelques mois. C'était l'occasion au jeune homme de déclarer à sa fiancée des mots d'amour et lui promettre une belle et heureuse vie conjugale. Entretemps, les deux fiancés entendirent un bruit venu de derrière les arbres, mais ils l'ont négligé. Toutefois, ils furent surpris par deux énergumènes brandissant un couteau pour les menacer et les tenir en respect. La jeune fille, fut bloquée par l'un des deux malfaiteurs qui lui a arraché son gilet, alors que son complice s'est occupé du fiancé. Le jeune homme fut obligé de monter dans la voiture où il fut attaché au volant. Sa fiancée a été, conduite à l'intérieur de la forêt, où les deux ravisseurs la forcèrent à se déshabiller. Ils se relayèrent, ensuite, pour abuser d'elle. A la tombée de la nuit, elle fut abandonnée par les deux lascars qui quittèrent les lieux comme si de rien n'était. Entretemps, son fiancé réussit, à se libérer et s'est pressé pour alerter les agents de la garde nationale. Les agents de la police furent dépêchés sur les lieux. La zone a été ratissée, et les efforts de la police ont donné leurs fruits. Ils ont trouvé la victime dans un piteux état, mais assez consciente pour pouvoir indiquer aux agents dans quelle direction, ses deux violeurs se sont dirigés. Arrêtés et interrogés, les deux suspects ont été reconnus par les deux fiancés. Ils ont été inculpés de détournement d'une jeune fille sous la menace d'une arme blanche et de viol. Ils ont comparu devant la chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis pour répondre de leur forfait.