Considérée comme la deuxième ville du pays, Sfax, la capitale du Sud, souffre encore d'une infrastructure routière insuffisante. La ville, qui s'attend à voir un avenir meilleur avec le projet Taparura, vit actuellement dans une médiocrité routière pour le moins paradoxale. Malgré la disponibilité des moyens sur l'ensemble des routes principales et secondaires de la ville, il n'existe que quelques centaines de mètres qui répondent aux critères de développement et de modernisation. Des routes pleines de trous à point qu'on voit les voitures, sans cesse, une fois faire des zigzags et plusieurs faire des chutes brusques. Il est donc temps soit d'utiliser les fonds existants et potentiels pour renouveler la toile routière de la ville soit financer l'achat des 4x4 ou des vélos tout terrain. Sans parler aussi du fameux projet de construction de l'échangeur de " Markaz Bouassida " (route de Tunis km 3) dont les travaux datent depuis un peu plus de trois ans et qui n'ont pas l'air de devoir être achevés dans les mois qui viennent...