Au point où nous en sommes, dire que l'ultime journée de qualification pour la phase finale de la coupe du monde Johannesburg 2010, a fait perdre la boussole à plus d'un, est un euphémisme. A Paris comme à Dublin, à Alger comme au Caire, et encore plus au bivouac de Khartoum, une agitation paroxystique s'est emparée des esprits… avec les résultats qu'on sait. Toutefois, à quelque chose malheur est bon, et il serait bon en cette occasion de rappeler à certains de nos confrères, de « Om Eddounia »comme ils veulent bien définir leur contrée, la vérité suivante : On peut tromper quelqu'un tout le temps On peut tromper tout le monde un certain temps Mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps.