Quelqu'un (ou quelques uns) ont eu l'idée de voler la célèbre inscription : "ARBEIT MACHT FREI" installée à la porte du camp de concentration d'Auschwitz. Et du coup, le monde libre (dont Israël bien sûr !) crie au retour des démons néo-nazis. La Pologne (pauvre Pologne, la seule vraie victime de Hitler) est dans ses petits souliers. A Copenhague, là où la couche d'ozone ne trouve guère de défenseurs sincères, les travaux sont retardés, parce qu'il fallait trouver les "mots justes" pour exprimer sa compassion envers les sionistes orphelins de cette inscription "emblême" de leurs souffrances et de la Shoah! Il faut bien reconnaître que dans le genre, Hitler, Hess et Goebbels installaient des inscriptions cyniques aux portes des camps de concentration. Car "Arbeit Macht Frei" se traduit littéralement en français: "Le travail fait la liberté". Et donc "le travail c'est la liberté"! Des reliques, des objets d'arts, des tableaux, voire la Joconde elle-même: on en vole et on en a volé. Mais aller, en l'occurrence, jusqu'à parler de profanation ce n'est ni de la paranoïa, ni de l'indignation: cela appelle ce genre d'instrumentalisation avec laquelle les sionistes tiennent l'Occident en otage. Il y a quelques jours, la profanation de la mosquée "Bilal" de Castres (en France) n'a suscité que de timides réactions. Y compris dans le monde islamique. Car avec la montée de l'islamophobie (orchestrée par les sionistes), les musulmans sont perçus comme les nouveaux proscrits de l'humanité. Et d'ailleurs, parions que, dans quelques temps, un rejeton de Ben Gourioun accréditera la thèse qu'il y avait la main arabe derrière Aschwitz. Histoire de "légitimer" a posteriori, le massacre de Sabra et Chatila et le génocide de Gaza... Et tout cela au nom du "Peuple élu"... Un peu trop élu en effet...