En déambulant dans les rues de la capitale, il est aisé de constater que le mobilier urbain nouveau tranche dans l'architecture des façades et jusqu'aux couleurs de celles-ci, avec les classiques des siècles passés. Aux traditionnelles bleu et blanc dites de Sidi Bou, sont venues se déployer des couleurs plus osées, plus chatoyantes et plus vives. Parfois, il est vrai, cela n'est pas du meilleur goût, mais n'empêche, c'est plus gai, moins morne et moins taciturne. Cela confère plus de vie à ces nouveaux immeubles et du coup, cette symphonie de couleurs rejaillit positivement sur notre humeur :Puisse-t-il en être ainsi tout au long de l'année qui débute.