Mardi soir, cité des Rosiers à Marseille (France), les policiers ont dû intervenir pour arrêter un homme armé d'une carabine qui tirait sur l'entrée dune résidence. Puis les policiers ont reçu des pierres et autres projectiles jetés des balcons par certains locataires de l'immeuble, précise le quotidien français « La Provence ». Pendant ces jets de projectiles, le forcené s'est retranché dans son appartement, menaçant de dégoupiller une grenade. Les hommes du GIPN ont réussi à le maîtriser, toujours selon « La Provence ». Selon une source proche de l'enquête, l'origine de la réaction violente de cet homme serait liée à un différend d'ordre familial et à un problème de garde d'enfants. Cet homme aurait récemment été hospitalisé pour des problèmes psychiatriques, toujours selon « La Provence ». Les braqueurs repartent avec 200.000 € de diamants Mardi dernier un diamantaire a été surpris par deux braqueurs, dans son atelier, à Paris, dans le IXe arrondissement. Les deux hommes, armés et les visages dissimulés sous des casques de moto, ont séquestré le diamantaire plusieurs minutes avant que celui-ci n'ouvre le coffre-fort de son commerce. Les deux malfrats se sont enfuis après avoir vidé le coffre de plusieurs dizaines de diamants. Le butin du braquage est estimé à près de 200.000 euros. Le diamantaire a réussi à défaire ses liens et a alerté la police. A 15 ans, elle menace une autre collégienne avec un hachoir C'est un différend au sujet d'un téléphone portable qui a opposé ces deux élèves dans l'enceinte d'un collège de Carqueiranne, dans le Var. Et pour régler ce différend, une collégienne de 15 ans a menacé sa camarade avec un hachoir, sans pour autant lui assener un coup. La collégienne a été de suite neutralisée par un conseiller principal d'éducation. Elle a été exclue du collège temporairement, en attendant la tenue du conseil de discipline. L'élève est convoquée, en fin de mois, devant un juge des enfants au Tribunal. Angleterre : L'«enfant-tueur» de retour en prison L'un des auteurs d'un meurtre qui avait choqué l'Angleterre dans les années 1990 a repris le chemin de la prison pour bris de conditions, a annoncé le gouvernement anglais. Le 12 février 1993, Jon Venables, alors âgé de 10 ans, et un complice, Robert Thompson, ont attiré un enfant de deux ans en dehors d'un centre commercial de Liverpool. Les deux jeunes garçons avaient battu sauvagement leur petite victime avant de la laisser pour morte sur les rails d'une voie ferrée. Son corps avait été retrouvé deux jours plus tard par des enfants jouant dans le secteur. Le ministère de la Justice a déclaré que Venables, 27 ans, avait brisé l'une de ses conditions et qu'il était de retour derrière les barreaux. Un porte-parole du Ministère a refusé de préciser quelles conditions n'avaient pas été respectées, ajoutant que les prévenus en libération conditionnelle sont soumis à des restrictions strictes et à des contrôles réguliers. Il était en outre interdit à Thompson et Venables d'entrer en contact l'un avec l'autre et de se présenter dans la région de Liverpool. La mort violente de James Bulger aux mains de deux enfants avait choqué l'opinion publique. Un juge avait condamné Venables et Thompson à la prison à perpétuité au terme d'un procès de 17 jours pour ce crime d'une «cruauté et d'une barbarie sans précédent». La mère de James Bulger, Denise Fergus, avait exprimé son indignation quand un tribunal avait ordonné la libération de l'assassin de son fils il y a neuf an, lui octroyant une nouvelle identité à vie pour assurer sa protection.