Ce sont des énergumènes qui ont profité dernièrement de l'absence des propriétaires des céans pour s'introduire dans leur maison et s'emparer d'une petite somme d'argent et d'un petit coffret dans lequel la maîtresse des lieux cachait des bijoux dont la valeur ne dépassant pas les mille dinars. Ce vol vient d'être commis dernièrement dans la paisible localité de Ain Jloula. Les malfrats qui se sont assurés du départ des maîtres des céans ont commencé par dévisser la serrure pour parvenir à s'introduire aisément dans la maison sans qu'ils ne soient importunés. Après avoir commis leur forfait ces derniers vissèrent de nouveau la serrure et quittèrent calmement les lieux avec le petit butin. De retour à leur demeure les propriétaires des lieux ne remarquèrent pratiquent rien au début. Ce n'est que quelques minutes plus tard que la maîtresse des lieux remarqua la disparition de son petit coffret à bijoux. La famille déposa plainte contre les voleurs qui n'ont pas laissé de traces. -------------------- Infanticide Cet infanticide vient d'être commis dernièrement dans une région rurale relevant administrativement de la délégation d'Ousseltia C'est un citoyen de cette région qui fut attiré par l'existence dans sa propriété d'un bon nombre de chiens et de chats. En s'approchant de ces bêtes affamées il remarqua la présence de morceaux de viandes disperses ça et là. Au début il crut à un lièvre capturé par ces canidés mais en s'approchant davantage des lieux les chiens quittèrent les lieux et seul un chat audacieux continua à arracher goulûment les morceaux de viande de ce qui restait du cadavre puis il remarqua la présence d'une petite main encore accrochée à un morceau de chair humaine qu'il mit spontanément dans un morceau d'étoffe avant de se diriger vers le poste de la garde nationale pour en prévenir les agents en permanence qui se rendirent aussitôt sur les lieux en sa compagnie . Ce dernier se rappela à son arrivée de la jeune fille célibataire et enceinte habitant non loin de sa propriété. La jeune fille sans tergiverser avoua son crime reconnaissant avoir étouffé le nourrisson fruit d'une liaison amoureuse avec un jeune homme du village. Les investigations sont en cours et les morceaux furent transportés vers l'Hopital pour subir un examen minutieux.