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La jeunesse, au cœur du pari sur l'avenir
Discours du Président Ben Ali à l'ouverture du 22e Symposium international du RCD
Publié dans Le Temps le 03 - 11 - 2010

Gammarth-TAP - A l'occasion de la célébration du 23e anniversaire du Changement, le Président Zine El Abidine Ben Ali s'est adressé aux participants au 22e Symposium international organisé par le Rassemblement Constitutionnel Démocratique sur le thème «La jeunesse et les défis d'aujourd'hui», par un discours dont lecture a été donnée, hier matin, à la séance d'ouverture, par M. Mohamed Ghannouchi, vice-président du RCD et Premier ministre.
Voici le texte intégral du discours :
«Au Nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux
Mesdames, Messieurs,
Nous ouvrons, aujourd'hui, le Symposium international que le Rassemblement Constitutionnel Démocratique a pris coutume d'organiser à l'occasion des festivités nationales marquant l'anniversaire du Changement du 7 novembre 1987.
Je souhaite la bienvenue à nos honorables hôtes représentants des partis frères et amis, des organisations politiques régionales et internationales, ainsi que les personnalités intellectuelles et médiatiques. Je les remercie d'avoir répondu à l'invitation du Rassemblement et de participer à cette manifestation que nous veillons à ce qu'elle se tienne chaque année.
Ces rencontres intellectuelles et politiques constituent un espace privilégié pour étudier les questions d'actualité sur la scène internationale et échanger les points de vue sur les mutations mondiales et leur impact économique, politique, social et culturel.
Ce sont là des questions et des mutations qui constituent autant de pôles d'intérêt de premier ordre pour les partis politiques au regard du rôle qui est le leur, mais aussi de celui de ses leaders d'opinion et de ses élites pour ce qui est de peaufiner les idées et approches à leur sujet, d'envisager les meilleures alternatives et de proposer les programmes les plus efficients.
Notre choix s'est porté sur «La jeunesse et les défis d'aujourd'hui» comme thème de ce Symposium international afin qu'il constitue un temps fort du programme de la célébration, par notre pays, avec l'ensemble des pays du monde, de l'Année internationale de la jeunesse, sous l'égide de l'Organisation des Nations unies. La proclamation de cette Année internationale de la jeunesse a été adoptée à l'unanimité par l'Assemblée générale de l'ONU qui a ainsi approuvé notre initiative, consacrant une conviction largement partagée selon laquelle la jeunesse est digne de l'intérêt international et qu'elle mérite d'être au cœur du pari sur l'avenir, un avenir de paix, d'entente, de coopération et de solidarité, un avenir de prospérité durable et de progrès généralisé.
Cette initiative qui est en concordance avec toutes nos autres initiatives internationales, notamment notre appel en faveur de la création d'un Fonds mondial de solidarité et de lutte contre la pauvreté, procède de notre vision des relations internationales et de la nécessité de les asseoir sur des principes et des mécanismes qui consacrent le développement solidaire et jettent les fondements d'un monde où règneraient le dialogue et le respect mutuel entre les peuples, les cultures, les civilisations et les religions.
Mesdames, Messieurs,
L'édification d'un monde plus sûr, plus stable, plus juste et plus développé, à l'abri des conflits, de l'extrémisme et des diverses manifestations de fanatisme et de terrorisme est tributaire du degré d'intérêt que nous accordons à la jeunesse et de notre attachement à l'éduquer dans le culte des valeurs et des idéaux universels et à la préparer au mieux, à être à la hauteur des espoirs fondés sur elle.
C'est là une responsabilité civilisationnelle que partagent l'ensemble des Etats et des sociétés et toutes les instances et organisations internationales spécialisées, à travers leur rôle en matière d'approfondissement de la prise de conscience quant à l'importance de la jeunesse, de soutien aux efforts en faveur de sa promotion et de volonté d'être à son écoute et de prendre en compte ses préoccupations et attentes. Il est indispensable d'offrir à la jeunesse davantage de perspectives et de la doter des attributs de l'efficacité et de la capacité à faire front aux difficultés et à relever les défis.
C'est là une mission très délicate s'il en est et un enjeu qui s'impose à tous dans le contexte des mutations technologiques, économiques et cognitives qui ont influé sur les modèles de comportement, les modes de vie et les formes de relations sociales, ce qui conditionne nécessairement la vision qu'ont les jeunes des valeurs et des concepts usuels, modifie leurs formes de perception et leur rapport avec les référentiels culturels et ouvre la voie à l'avènement d'une réalité nouvelle avec laquelle il faudra composer et avec les données de laquelle il faudra interagir au mieux.
Le cours de l'Histoire ne s'arrête pas. Les rythmes d'évolution font partie des impératifs du progrès et de ses conditions inéluctables et relèvent des attributs nécessaires pour le passage de l'homme d'un état à un autre à travers les époques et les temps. Pour autant, nous ne perdons pas de vue la responsabilité qui est la nôtre pour assimiler ces mutations, interagir avec elles de manière saine, mettre à profit au mieux les opportunités qu'elles nous offrent et éviter les influences négatives qu'elles pourraient induire.
L'intérêt que nous accordons aux préoccupations et aspirations de la jeunesse de même que notre attachement à dialoguer avec elle et à l'associer à la vie publique et à la définition des contours de l'avenir comptent parmi les voies les plus indiquées à même de nous aider à combattre de telles influences et à éluder la rupture entre les générations, et également à motiver les jeunes à s'intéresser aux affaires de leur patrie et de leur monde, afin de conjurer les risques de glissement vers le fanatisme, la haine, l'extrémisme et le terrorisme.
Il n'est d'autre voie pour relever ce défi que celle d'avoir une approche globale et cohérente dans ses volets éducatif, culturel et médiatique, qui doterait la jeunesse d'un référentiel axiologique à la conception et à la production duquel elle participerait, de la position qui est la sienne; un référentiel qui soit en phase avec la dynamique de progrès et d'évolution et qui consacre les constantes et les principes universels sublimes; un référentiel aussi qui incite la jeunesse à s'assumer en pleine connaissance de cause et avec responsabilité, à travers l'action et la réalisation, ainsi qu'en militant en faveur des causes nobles et des idéaux.
L'école et les espaces de culture et d'information dans le monde se doivent de redoubler d'efforts pour faire triompher et inculquer aux jeunes les valeurs d'abnégation, de don de soi, de sacrifice, de volontariat et de solidarité. Rien ne menace les jeunes autant que le vide axiologique, le sentiment de l'horizon bouché et de l'abandon, dans un monde où le cours des événements nourrit le sentiment d'injustice et de domination de la force et où prévalent l'usage des deux poids, deux mesures et les égoïsmes.
C'est une responsabilité que nous assumons vis-à-vis de la jeunesse qui a encore et toujours besoin d'un modèle de référence sincère, et d'un réel qui incarne véritablement les principes et valeurs auxquels nous appelons.
Mesdames, Messieurs
La révolution numérique a changé le rythme de la vie de l'homme, l'a engagé dans un stade avancé de son parcours civilisationnel et ouvert devant lui des horizons jusque-là insoupçonnés.
De même, les nouvelles technologies de la communication ont permis de réduire les distances, aboli les frontières entre les hommes, transformé le monde en un village aux composantes étroitement imbriquées, doté l'homme de nouvelles voies pour la connaissance, lui ont offert de grandes opportunités de travail, de gain et d'investissement et mis à sa disposition une quantité illimitée d'informations. Elles ont aussi généré des défis et des enjeux sans précédent.
Il nous incombe donc d'en saisir la portée et de bien les gérer afin d'éviter que, d'enjeu de progrès et de modernité, la révolution numérique ne se transforme en un facteur de risque d'aliénation et de régression et afin qu'elle apporte le plus escompté au capital d'acquis et de réalisations accumulé par les civilisations humaines successives à travers l'Histoire.
Nous avons parié, dans notre pays, sur l'édification de la société du savoir et incité les jeunes à s'y investir; nous les avons encouragés à utiliser et à maîtriser les nouvelles technologies de la communication et n'avons ménagé aucun effort pour en assurer la diffusion et la généralisation, notamment dans les établissements éducatifs et universitaires et dans l'ensemble des espaces culturels.
Nous n'en avons pas moins veillé à ce que l'adhésion de notre jeunesse à la société du savoir soit une adhésion consciente dont l'enjeu serait de tirer le meilleur avantage des moyens de communication avancés et d'en optimiser la gestion, de manière à ce que cette jeunesse confirme son appartenance à son époque et qu'elle en maîtrise les outils, tout en préservant notre identité nationale et nos spécificités culturelles.
En rappelant les décisions et recommandations issues du Sommet mondial sur la société de l'information tenu à Tunis en 2005 et les rencontres régionales et internationales qui s'ensuivirent, nous réaffirmons la nécessité d'accorder à la jeunesse, dans son rapport avec la révolution numérique, davantage d'intérêt et d'attention et de mettre en œuvre les programmes et mécanismes que le Sommet avait préconisés pour la réalisation de la justice entre les jeunes du monde en matière d'accès aux nouvelles technologies de la communication et de maîtrise de ces technologies.
Nous réitérons également l'appel à réduire au plus vite la fracture numérique qui persiste hélas entre les pays riches et les pays pauvres et à mettre à profit les opportunités et possibilités offertes par la société du savoir pour assurer l'emploi des jeunes, créer des sources de revenus et affermir les attributs du développement global.
La question de l'encadrement éducatif des jeunes et de leur protection en termes de valeurs dans leur rapport avec les nouveaux moyens de communication demeure, elle aussi, une question cruciale, compte tenu des risques de dévoiement et de dérapage vers l'extrémisme et le terrorisme en l'absence d'un tel encadrement.
Mesdames, Messieurs,
Les jeunes d'aujourd'hui sont les décideurs de demain. Il est indispensable de les habituer à l'exercice de la responsabilité ainsi qu'à la participation à la gestion des affaires de la société. La désaffection des jeunes pour la chose publique et notamment pour la participation politique que nous constatons, doit nous conduire à réfléchir à ce phénomène, à en cerner les causes et à y apporter les solutions appropriées afin que la jeunesse continue à se sentir concernée par les affaires nationales et internationales, à en être partie prenante, à participer à la vie publique et à s'investir dans l'action politique avec toutes les opportunités qu'elle offre en matière d'action, et d'exercice au comportement démocratique.
Notre pari sur la jeunesse et notre attachement à ce qu'elle soit un partenaire actif de la concrétisation de notre projet réformateur et partie prenante dans tout ce qui concerne la marche du pays, nous incitent continuellement à dynamiser son rôle, à être à son écoute et à l'habituer à donner son avis sur les différentes questions nationales, à travers les consultations de jeunesse que nous organisons régulièrement tous les cinq ans, concomitamment avec l'élaboration des plans quinquennaux de développement.
Cette démarche, nous l'avons couronnée par l'organisation d'une année de dialogue avec les jeunes en 2008, qui a abouti à l'élaboration d'un Pacte national de la jeunesse qui constitue, aujourd'hui, une référence sans précédent pour nos générations nouvelles.
De par notre volonté d'élargir le champ de la participation devant la jeunesse de notre pays, nous l'avons encouragée à œuvrer au sein des structures de la société civile, associations et organisations, et l'avons motivée à participer à l'action politique et à l'exercice des responsabilités, à travers nombre d'initiatives et de mesures, dont notamment l'abaissement à 18 ans de l'âge de vote et de l'âge d'éligibilité à la députation, réduit à 23 ans.
La création du premier Parlement de jeunes dans l'histoire de la Tunisie, le 25 juillet dernier, fut un événement historique par lequel nous entendions consacrer notre foi en la jeunesse, en son rôle dans l'œuvre de développement et en la nécessité de faire confiance aux nouvelles générations et de les préparer à assumer la responsabilité afin de leur épargner les risques de repli sur soi, de marginalisation et d'aliénation, et aussi afin qu'elles n'encourent pas les risques d'embrigadement, de désinformation et de pervertissement.
C'est une responsabilité qui incombe à tous, à commencer par les partis politiques, plus concernés que quiconque par l'encadrement de la société et la prise en charge de ses différentes catégories, notamment la jeunesse.
Nous avons consacré cette orientation au niveau de notre Parti, le Rassemblement Constitutionnel Démocratique, en renforçant la place conférée aux jeunes en son sein et dans ses structures aux différents niveaux, ce que nous avons conforté par nombre de mesures, l'une des plus remarquables étant notre décision, lors du dernier congrès en date du Rassemblement, relative à l'adjonction de 62 jeunes des deux sexes à la composition du Comité central du parti.
Mesdames, Messieurs,
La jeunesse est synonyme d'espoir. Dans le monde, elle représente aujourd'hui près du cinquième de l'humanité, dont 87% dans les pays en développement, d'après les statistiques de l'Organisation des Nations Unies. Ce constat nous commande d'appréhender sa situation d'une manière qui tienne compte de son poids démographique. Il nous appelle aussi à la promouvoir et à lui ouvrir les horizons les plus larges sans jamais perdre de vue que la jeunesse est bel et bien la solution, dans la mesure où nous réfléchissons bien à ses affaires, interagissons avec ses attentes et la préparons à assumer ses responsabilités.
Nous saisissons l'occasion de la tenue de ce Symposium international pour réaffirmer toute l'importance que revêt l'Année internationale de la jeunesse, appelant à la nécessité de la mettre à profit pour accroître la prise de conscience de la question de la jeunesse dans le monde, ainsi que des enjeux et défis qui s'y rattachent.
Nous appelons également à multiplier les rencontres et les manifestations de jeunesse dans les différents pays du monde pour faire connaître sur la plus large échelle les principes fondateurs de cette initiative onusienne et les objectifs qui lui sont fixés.
Nous recommandons, à ce même propos, d'accorder un intérêt particulier aux orientations énoncées dans le «Guide de l'Année internationale de la jeunesse» publié par l'ONU, ainsi qu'aux recommandations issues de «La conférence mondiale de la jeunesse» tenue, fin août dernier, au Mexique, sur le thème: «La jeunesse du prochain millénaire».
Il ne fait point de doute qu'avec la présence de personnalités politiques, intellectuelles et médiatiques aussi éminentes et de jeunes de Tunisie et de l'étranger, ce Symposium international parviendra à mettre au clair beaucoup de nouvelles idées et de propositions pratiques autour du thème de «La jeunesse et les défis d'aujourd'hui».
Nous sommes persuadés que les résultats de vos travaux constitueront un véritable apport qualitatif à la dynamique que connaîtra le monde durant toute cette Année internationale de la jeunesse.
Je tiens, avant de conclure, à souhaiter encore une fois, la bienvenue à nos honorables hôtes, avec mes vœux d'un agréable séjour parmi nous et de plein succès aux travaux de ce 22e Symposium international du Rassemblement».


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