Depuis que l'UE a autorisé le "low-cost" ou le bradage des prix hyper-concurrentiels pour les compagnies aériennes, le ciel est devenu plus clément pour les millions de touristes et autres voyageurs du ciel. Beaucoup de pays extra-communautaires ont dû autoriser le "low-cost" sur leurs aéroports pour doper leur tourisme au risque de couler leurs compagnies aériennes! Au fait, c'est là tout le dilemme . Selon certains spécialistes, les pays "touchés" par le low-cost ont vu le nombre de leurs touristes augmenter. Certains parlent même d'augmentations de 10 à 15%. Chez nous, la tentation d'augmenter les visiteurs se "heurte" à la logique du marché. Notre Etat a tellement mis d'argent dans la compagnie Tunisair (qui s'émancipe même à l'étranger) qu'il serait dommage de lui mener la vie encore plus dure. Et puis, qui dit que le low-cost survivra à la hausse du prix du kérosène et la concurrence sauvage?