Il a quitté la prison au mois de Mai 2011. Une année exactement depuis qu'il a retrouvé sa liberté après avoir purgé une peine de sept ans de prison pour différents cambriolages et braquages à main armée. Au lieu de se repentir et de reprendre une vie normale en cherchant du travail, il est de nouveau revenu à ses meilleurs sentiments pour reprendre le chemin de la délinquance. Cette fois il a pris plusieurs précautions pour qu'il puisse agir dans l'impunité. La preuve c'est que plusieurs citoyens de la cité Mourouj 3 ont été attaqués et spoliés de leurs biens sans qu'il ne soit arrêté.
La dernière, Une femme médecin de quartier. Elle habite la cité. Elle a été attaquée à son domicile un jour de bon matin par cet individu qui est arrivé à cambrioler le domicile non sans avoir menacé la dame avec une barre de fer qu'il tenait en main. Après avoir pris tout ce qui lui est tombé sous la main, il a quitté les lieux.
Dès qu'elle s'est retrouvée seule la dame s'est dirigée illico au commissariat de la cité où elle a déposé plainte contre cet individu. Elle a donné son signalement.
Les forces de l'ordre sont arrivées à le coincer, grâce à leur tact.
Lors de son premier interrogatoire il a nié les faits déclarant qu'il n'a jamais mis les pieds au domicile de la plaignante. Mais devant la diversité des questions il a fini par jeter l'éponge et reconnaître sa responsabilité dans plusieurs affaires de braquages et de cambriolages et particulièrement celle de la dame plaignante. Il a même reconnu avoir volé un téléphone portable appartenant au voisin de la plaignante. Le téléphone a été restitué à son propriétaire.
Parmi les astuces qu'il utilisait, il se rasait le crâne après chaque opération, c'est la raison pour laquelle il a pu échapper à plusieurs reprises à la police. Mais voilà tout a une fin. Cet individu a été finalement mis hors d'état de nuire. Il a été incarcéré en attendant sa traduction devant le tribunal.
Un grand OUF de soulagement des habitants de la cité qui ont tari d'éloges les auxiliaires de la justice pour leur vigilance.