Dans une parution antérieure, nous avons fait état d'un nombre impressionnant de joueurs en fin de contrat avec les verts, 13 en tout. Pour le moment, seul Walid Messaoudi a rempilé pour deux années supplémentaires. Mais nous croyons savoir de source sûre que le libyen Iheb Boussifi et le rugueux Mouïne Chaâbani sont sur le point de prolonger leur bail avec les Hammam-Lifois pour avoir donné entière satisfaction à leurs employeurs. Pour le reste des joueurs, c'est l'indécision la plus totale car on semble temporiser un tout petit peu le temps de voir venir surtout que les promesses fermes émanant de certains joueurs de débarquer à Hammam-Lif sont encore au stade des négociations. Une certitude cependant, Odorosi et Seiko Doumbia ne porteront pas la casaque Hammam-Lifoise ayant déjà quitté le giron du club.
Non à Abdesslem Bouhouche
L'axial Abdesslem Bouhouche a donné dans un premier temps son accord de renforcer les rangs des verts. Tous les aspects inhérents à son passage de Gafsa à Hammam-Lif ont été envisagés et résolus « verbalement ». Mais aux dernières nouvelles, Bouhouche serait revenu sur l'accord initial réclamant deux majorations successives de ses émoluments et primes. Selon lui, il aurait eu deux offres plus conséquentes du ST et de son club d'origine EGSG. Suffisant pour que Adel Daâdaâ l'élimine définitivement de ses plans et le gomme de ses tablettes.
Où sont les 30 millions de la mairie ?
Adel Daâdaâ et c'est tout en son honneur, se démène tout seul contre vents et marais pour honorer à chaque 8 du mois les engagements financiers du club vis-à-vis de ses employés. Aucune assistance de qui que ce soit ne lui est accordée. Et même la mairie qui d'habitude alloue une enveloppe annuelle de 100 millions a fermé les vannes depuis le 14 janvier. Pas le moindre denier dans les caisses provenant de la commune en dépit de la promesse d'avancer au club 30 mille dinars en guise de subvention municipale faite au tout début de l'exercice actuel par les édiles municipaux.