* 36 fans cabistes aux arrêts dont deux étudiants * Ils sont transférés à Tunis Trente six supporters cabistes dont deux étudiants ont été arrêtés samedi dernier à l'issue du match CABizertin-Club Africain, lequel a été émaillé de graves incidents occasionnant des dégâts importants aux biens et aux personnes. Les fauteurs de troubles de cet après-midi de triste mémoire ont été transférés à Tunis, croyons-nous savoir et placés sous mandat de dépôt pour les besoins de l'enquête.
Terreur à la clinique Raouabi La paisible clinique Raouabi de Bizerte aura vécu à l'issue des incidents qui ont émaillé le dernier CAB-CA , des moments cauchemardesques. En effet, une horde d'énergumènes s'est attaquée avec une violence inouïe, à cette batisse remplie de malades en convalescence pour la plupart, occasionnant des dégâts importants estimés selon une source de la clinique à 35 mille voire 40 mille dinars. Vitres saccagées, ordinateurs bousillés, appareils d'anesthésie de l'ambulance de service arrachés et détruits. Des scènes de panique, de peur et d'insécurité eurent lieu , plongeant , malades, cadres hospitaliers et para-hospitaliers de service dans un traumatisme sans égal et qui va laisser vraisemblablement de graves séquelles. Selon la même source, "On est resté livrés à nous mêmes, malgré nos appels réitérés à l'aide et au secours pendant près de deux heures". Ou va-t-on? Ce qui s'est passé à Bizerte ne doit en aucun cas passer sous silence. Il faut diligenter l'enquête pour punir les auteurs des troubles qui n'ont aucun rapport avec l'éthique sportive. Dommage! Bizerte aura vécu des moments graves que nous dénonçons avec force pour qu'ils ne se reproduisent plus. Par ailleurs, l'on apprend qu'une plainte a été déposée par le responsable de la nouvelle clinique Raouabi contre X pour déterminer les tenants et les aboutissants de cette gravissime affaire qui a plongé toute une clinique et ses malades dont une jeune mère qui vient d'accoucher ainsi que trois malades étrangers (deux Italiens et 1 Hollandais) dans une véritable terreur.