Les Malades du SIDA font la marche à Durban pour sauver le protocole de Kyoto, leur souhait voir un nouveau accord avant de mourir. Les ONG sont devenues les anges gardiens contre les décisions des politiciens assoiffés de pouvoir. En effet, de nos jours, les vraies réalités commencent à jaillir en matière de corruption environnementale, non pas par les organisations internationales spécialisées en la matière, mais grâce à des associations, des chercheurs convaincus de la cause. Selon Dali Najeh c'est le vraie sens du « militisme ». Voila si depuis quelques jours on a vu à Durban des religieux de toutes les ethnies se prononçaient pour la sauvegarde de la vie sur terre et de trouver un nouveau accord international pour diminuer la pollution causée par les gaz à effets de serre, voila aujourd'hui le 3 décembre des milliers de sud africains venus de tout bord ont fait une marche dans les rues de la ville de Durban pour manifester leur mécontentement sur l'esprit pessimiste dont lequel se déroule la conférence sur la climat qui se tient chez eux du 28 novembre au 12 décembre 2011. Cette marche coïncide avec la journée mondiale d'action contre les changements climatiques
D'après des images communiqués à Dali Najeh Sur les banderoles, on peut lire notamment « Arrêtez de tuer la planète ». La plupart des manifestants de Durban sont impliqués dans des projets de protection de la nature dans les bidonvilles de Soweto et d'Alexandra, à la périphérie de Johannesburg. En contactant des participants Dali Najeh cite même des gens malades avec le SIDA étaient présents. D'ailleurs d'autres malades qui trouvent de la peine de marcher affirment qu'ils sont malades cause de la pollution causée par les mines ou les grandes usines. Parmi les manifestants des représentants de grandes organisations internationales ont été aperçus à l'instar de, Fonds mondial de la nature (WWF), les Amis de la terre Greenpeace ?...... D'après le directeur international de Greenpeace, Kumi Naidoor il faut que les pays de l'Union européenne et les BASIC (Brésil, Afrique du Sud, Inde et Chine), les grands émergents, fassent bloc et se mettent d'accord sur une seconde période d'engagement du protocole de Kyoto. Mais Najeh Dali se pose la question faut-il mourir pour sauver la terre. Mourir pour qui et laisser la terre pour qui ? Mardi 6 décembre, une douzaine de chefs d'Etat et près de 130 ministres sont attendus à Durban.