Les ambassadeurs de la France, de l'Italie, de l'Espagne, de la Grèce, du Portugal et des Pays-Bas, ont été convoqués, mercredi 15 février, au ministère des Affaires étrangères iranien pour apprendre que l'Iran allait revenir sur ses ventes de pétrole à leurs pays. Téhéran suspendra ses livraisons pétrolières en riposte aux sanctions décidées par l'Union Européenne à l'encontre de Téhéran. Les pays cités ci-dessus importent 68% du brut iranien, soit environ 600.000 barils de brut par jour, en 2011.