Une quarantaine de personnes ont voulu profiter du vide sécuritaire momentané, après qu'une foule de manifestants avait incendié les postes de police et de la garde nationale à Boussalem, où se sont déplacés des renforts sécuritaires de Jendouba. Les bandits ont attaqué la recette des finances de la ville. Une intervention de l'armée a permis d'éviter le pire, les assaillants ont été repoussés par des tirs de sommation. l'un des malfrats a été arrêté.