Mohamed Najem Gharsalli, a expliqué que le fait de décréter l'état d'urgence ne nuit pas aux libertés et surtout celui du droit de manifester. «Ceci ne veut en aucun cas dire que l'Etat ne veut plus faire d'efforts pour instaurer des institutions démocratiques, a expliqué le ministre de l'Intérieur, lors d'une conférence de presse commune avec les ministres des affaires étrangères et du tourisme en présence de plusieurs ambassadeurs.