Le tribunal de première instance de Tunis a reporté à une audience au mis d'avril prochain l'examen de la plainte du Hizb-Ut-tahrir contre le chargé du contentieux de l'Etat, représentant le président de la république. Le parti salafiste Hizb-Ut-tahrir demande par voie de justice au président BCE, de cesser de l'importuner et d'embrigader contre lui. Il lui reproche ses propos au cours d'une réunion du conseil supérieur de la sécurité de l'Etat, quand il avait dit qu'il fallait trouver une « solution pour Hizb-Ut-Tahrir », qu'il considère comme un dépassement des prérogatives du chef de l'Etat.