La Direction générale des crimes terroristes a révélé mardi, 11 décembre 2018, lors d'une conférence de presse sur l'assassinat de Mohamed Zouari, que les enquêtes ont montré qu'il n'y avait aucune trace d'une surveillance sur le terrain du martyr par les deux Bosniaques responsables de l'assassinat. La Direction générale des crimes terroristes a affirmé que le téléphone de feu Mohamed Zouari, qu'il avait reçu en cadeau de la Turquie, avait été piraté ce qui a permis aux meurtriers de le suivre et d' arriver jusqu'à lui. La même source a ajouté qu'il a été prouvé techniquement qu'il était possible de pirater le téléphone de la victime, indiquant que l'appareil avait été détruit immédiatement après l'assassinat.