La conseillère juridique auprès de l'INLUCC, Naïma Boulila a déploré l'absence de volonté politique réelle pour combattre les malversations et la corruption. Elle a ajouté que le travail de l'INLUCC est entravé par le fait qu'elle soit dépourvue d'une appareil d'investigations propre à elle et dont les membres soient habilités à enquêter, à opérer des saisies et qui soient assermentés. Cet appareil permettrait à l'instance de mieux jouer son rôle dans la lutte contre ce phénomène qui prend l'ampleur d'un fléau national. Que se passe-t-il en Tunisie? Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!