Le chef du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, a démenti l'existence d'une intervention algérienne pour résoudre les différends entre l'opposition et le président de la République Kais Saied. Dans une interview accordée à la chaîne "Al Charek", Ghannouchi a souligné que son parti est ouvert au dialogue, afin que le pays évite un scénario de violence, déclarant : « En tant que Tunisiens, nous sommes tous condamnés à vivre dans notre pays, alors comment cette vie soit? Il y a deux voies, la première : est la violence, par laquelle l'un de nous impose sa volonté à tout le monde(…)et la seconde: est de recourir au dialogue pour arriver à une équation de coexistence. Ghannouchi a jugé nécessaire de parvenir à des accords de partage du pouvoir, expliquant: "Ce pays n'appartient à personne, mais appartient à tous ses fils et filles(…) Par conséquent, ils devraient s'asseoir les uns avec les autres et chercher une équation pour la coexistence." Que se passe-t-il en Tunisie? Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!