Dans une déclaration rendue publique, mardi10 janvier 2012, l'Association Tunisienne des directeurs de journaux (ATDJ) a dénoncé le mode de désignation “d'en haut” de directeurs d'entreprises publiques de presse, appelant le Gouvernement à la concertation au sujet des préoccupations du secteur. D'une autre part, l'ATDJ a critiqué les positions de certaines parties syndicalistes contre certains médias “au lieu de recourir au dialogue, d'autant plus que les médias se sont ouverts à toutes les parties politiques sans exception, ce qui confirme qu'ils sont au service des objectifs de la révolution et de l'intérêt de la Tunisie”. L'ATDJ a condamné, également, “les agressions contre les journalistes ainsi que les menaces proférées par certains extrémistes qui tentent de compromettre l'avenir de l'information et de la Tunisie”.