TUNIS (TAP) - Festival "Cinéma de la Paix" propose "Ma vie sans pétrole" La Maison de la Culture Maghrébine Ibn Khaldoun projettera le mercredi, 21 mars 2012, à 15 heures dans le cadre du "festival de la paix" le film documentaire "Ma vie sans pétrole" du réalisateur John Webster. D'une durée de 85 mn, ce film en anglais sous-titré en français, invite à la réflexion sur les moyens qui s'offrent à l'individu pour affronter le réchauffement climatique. Selon la note de présentation, c'est le défi que le réalisateur de ce documentaire et sa famille ont décidé de relever en adoptant, durant un an, un mode de vie à faible émission de CO2 : moins de voiture, d'électricité ou d'articles en plastique. Cette diète vertueuse devient vite un chemin de croix tragi-comique que raconte le film avec humour et authenticité. Il révèle à travers cette expérience particulière les difficultés et obstacles qu'ils rencontrent au quotidien, mais aussi les nouvelles libertés qu'ils découvrent. Le festival "Journées de Musique Alternative" présente "Aswat" Le festival des "Journées de Musique Alternative" présente le samedi 24 mars à 20h00, à Mad'Art Carthage, un spectacle "danse, musique, vidéo" avec Kaïs Rostom et Imène Smaoui. Cette production est un écho aux voix de celles et ceux qui ont créé le miracle et semé le printemps. Le souffle de cette vague inexorable de la rue est ici transposé en sons, en images et en mouvement." Création de musique et de danse, Aswat est né d'une idée de Kays Rostom, artiste tunisien connu comme scénographe, décorateur de théâtre et percussionniste. Depuis 1994, il est le scénographe de Fadhel Jaïbi de Familia Production. Ce "work in progress" structuré en trois axes à savoir le son, le corps et l'espace, a été développé avec la danseuse tunisienne Imène Smaoui. Dans la première partie intitulée "Son", Kays Rostom a utilisé des instruments rares, originaires de différents pays afin de donner une voix musicale aux "Voix" de la Révolution. La seconde partie est une improvisation très poussée dans laquelle le corps qui participe très activement, est au centre de la création. Il s'ensuit une exploration de l'espace scénique considéré par Kays Rostom comme une caisse de résonance rythmique, vibratoire, sonore mais aussi dramaturgique et sensorielle. Il est à noter que le Goethe-Institut développe depuis 2008 avec Kays Rostom des projets musicaux ethnologiques, entre autres avec l'allemand multipercussionniste polyvalent, David Kuckhermann.