Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a dénoncé fermement les "agressions" dont auraient été victimes 20 journalistes de la presse écrite et audiovisuelle alors qu'ils couvraient, avenue Bourguiba, à Tunis, les festivités marquant la célébration de la fête du travail. L'UGTT a récusé cette version des faits par la bouche de son porte-parole et secrétaire général adjoint Sami Tahri.