Les syndicats de base du secteur de la presse écrite ont demandé au gouvernement d'ouvrir "le dossier des établissements de presse qui violent la loi et n'appliquent pas la Convention collective de la presse écrite". Ils réclament également que la publicité publique ne soit attribuée qu'en fonction de l'application de la Convention collective et proportionnellement au nombre d'employés de chaque établissement.